Les armes à poudre ne conviennent pas à tous les univers de jeu, elles sont soumises à l’autorisation du MJ.
Lorsqu’un personnage utilise une arme à poudre, il doit lancer 1d20 supplémentaire appelé « dé de poudre » (de couleur noire ou rouge pour symboliser la poudre), en même temps que son dé d’attaque.
Si le dé de poudre donne le même résultat que le dé d’attaque, l’arme fait « long feu » : la poudre de la charge n’est pas mise à feu, se consume trop lentement ou explose dans une gerbe de flammes sans propulser le projectile. Dans tous les cas, l’attaque est un échec.
- Si le dé de poudre donne un résultat de 1, la poudre explose dans l’arme, en infligeant au tireur 1d6 DM. L’arme est inutilisable pour le reste du combat.
- Si le dé d’attaque et le dé de poudre donnent tous les deux un résultat de 1, l’arme explose, elle est détruite et le tireur subit 2d6 DM.
Charger des armes à poudre à l’avance : les joueurs comprendront vite qu’ils ont tout intérêt à ce que leurs personnages chargent le plus grand nombre d’armes à poudre possible avant un combat, afin de ne pas avoir à le faire pendant celui-ci.
Il faudra rapidement poser une limite à cette tactique de jeu, sous peine de voir fleurir une liste d’arme sans fin. Un Arquebusier pourra raisonnablement avoir trois armes chargées en même temps, généralement deux pétoires et un mousquet (plus éventuellement une couleuvrine qui ne compte pas dans ce calcul).